Un site de l'Agence pour le Non-Marchand
Informations, conseils et services pour le secteur associatif

Lettre ouverte d'une psychologue

12/01/17
Lettre ouverte d'une psychologue

CARTE BLANCHE - Emilie Gérard est psychologue clinicienne et exprime son opinion face aux récents changements qui concernent le secteur de la psychologie.

Depuis quelques jours, le secteur de la psychologie est à nouveau en émulation : la Cour Constitutionnelle a accepté le recours en annulation de l’article 11 de la loi du 4/4/14 ; de nouvelles associations se créent (Appelpsy, Alter-psy…), l’Upppsy communique abondamment sur les réseaux… Tout cela baignant dans un échange de propos agressifs, calomnies entre associations, raccourcis, amalgames… Tout y passe.

Soupir…

Vous aussi vous en avez marre que notre secteur de travail se déchire ?

Ces bassesses me laissent perplexes. Pourquoi certaines associations éprouvent-elles le besoin de se définir dans l’opposition aux autres ?
Je suis psychologue clinicienne depuis douze ans. Depuis que je suis entrée dans cette « communauté des psy », je n’ai rien connu d’autres que ces guerres intestines (FBP vs APPPSY, UPPSY vs Compsy…) qui non seulement me semblent aberrantes entre des professionnels praticiens de la parole et de l’échange, mais en plus paraissent totalement non constructives.
Je n’ai pas connu les vieilles histoires qui justifient ces conflits : elles appartiennent au passé. Point.

Ce que je veux pour ma profession, c’est aller de l’avant, parler positif, se saisir des changements qui sont inévitables d’après moi et leur infléchir une orientation qui va dans le bon sens.
Ce que je veux, c’est une profession qui travaille de concert malgré des divergences d’opinions : rassembler nos forces et nos moyens pour un système enfin cohérent, synergique et efficace, notamment en termes financiers.
Ce que je veux, c’est enterrer ce passé que je ne connais pas et insuffler notre nouvelle énergie dans le secteur de la psychologie clinique et dans notre organe national, la FBP, pour qu’il devienne ce que nous voulons qu’il soit.

Certains me taxeront d’idéaliste. Certes. Ce sont sans doute les mêmes personnes qui ne cessent d’attiser les conflits, de désinformer, de critiquer… ?

J’ai besoin d’autres choses comme psychologue de terrain, et c’est pour cela que je soutiens l’UPPCF (Union Professionnelle des Psychologues Cliniciens Francophones) :
 L’UPPCF est pour tout le monde et contre personne : depuis son existence, elle n’a cessé de travailler pour rassembler, créer des ponts, avancer avec les ressemblances en laissant les divergences sur le côté, dialoguer surtout, garder le lien, négocier avec douceur ce qui nécessite un changement : avec l’APPPSY, la FBP, la Commission, l’APTO, l’ABPN… Elle rencontrera toutes les autres associations pour créer ce grand rassemblement nécessaire pour notre profession. C’est ça dont j’ai besoin ! Une parole respectueuse, qui bâtit.
 L’UPPCF cherche une vision d’ensemble : simplifier ce paysage confus d’associations de psychologie clinique francophone, éviter de payer des cotisations multiples à droite et à gauche, travailler au-delà des conflits d’écoles ou d’idées pour les confronter et permettre l’élaboration de positions communes acceptées par tous les psychologues cliniciens.
 C’est pour ça que l’UPPCF collabore avec la FBP : au lieu de refuser une main tendue, nous préférons la saisir, cheminer ensemble, pardonner le passé, trouver un nouveau consensus. N’est-ce pas la seule voie ?

De plus, il est à contredire certaines diffamations qui circulent sur la toile :
 L’UPPCF n’est pas la FBP, même si nous échangeons en ce moment pour préciser notre partenariat futur
 La Commission des psychologues n’a rien à voir avec ces associations professionnelles : elle est un organe de droit public.
 N’amalgamons pas la psychothérapie et la psychologie clinique, c’est source de nombreuses confusions.

C’est sûr, si Freud, Bateson ou tout autre de nos mentors voyaient la guerre qui nous déchire, ils se retourneraient dans leurs tombes !

J’ai besoin d’autre chose.

Et vous ?

Si vous y croyez et voulez ce que j’ai énoncé, rejoignez-nous à l’UPPCF pour construire l’avenir de notre profession de psychologue clinicien ensemble !

Emilie Gérard, psychologue clinicienne, membre de l’UPPCF



Commentaires - 13 messages
  • Au contraire, relevez-les. Parce qu'il me semble que c'est vous qui êtes en train de projeter.
    Merci Monsieur Tordeur de me citer, je maintiens ce que j'ai dit Í  l'époque.
    Brigitte Dohmen

    Gitte mercredi 15 février 2017 20:03
  • Vous avez oublié une chose importante dans ce projet que vous nous peignez, Mme Gérard. Je l'écris pour vous : "l'UPPCF soutient la loi De Block"
    (voir ici : www.media.wix.com/ugd/9eb562_52848f1eb17f464aae8eca48b62c1d73.pdf) (pour éviter la désinformation).

    Dommage aussi, Mme Gérard, que vous fassiez comme si la FBP était "notre organe national" : "...ce que je veux c'est enterrer ce passé que je ne connais pas et insuffler notre nouvelle énergie dans le secteur de la psychologie clinique et dans notre organe national, la FBP, pour qu'il devienne ce que nous voulons qu'il soit..."

    Or, la FBP n'est qu'une institution parmi d'autres. Et qui, elle aussi, soutient aussi la loi De Block.

    Beaucoup cherchent une loi qui tolèrerait tous les courants et toutes les éthiques de travail. Une loi telle que la loi Muylle, non "corrigée" par M. De Block était bien suffisante. Les conflits dont vous parlez apparaissent quand on essaie de tuer la tolérance.

    Quant Í  la Commission des Psychologues : vous dites qu'elle n'a rien Í  voir avec ces associations professionnelles mais elle est en majorité peuplée de membres de la FBP et donne des avis opaques Í  la Ministre (Í  moins que vous ne puissiez nous les rendre publics?). Plus de transparence : moins de conflits.

    Les choses ne sont pas aussi roses que vous le présentez : elles sont bien plus complexes, malheureusement. Et, en tant que clinicienne, vous savez bien qu' "enterrer les conflits" ne les résout pas.
    Bien Í  vous.

    CedricBoussart jeudi 12 janvier 2017 10:35
  • Du temps de Freud et Bateson les divergences débats et courants différents faisaient rage. De plus psychothérapie, psychosociologie clinique n'étaient pas bétonné dans des lois et de hautes exigences universitaires. Siegi Hirsh un des fondateurs de la thérapie familiale systémique mondialement connu est éducateur de formation et selon la nouvelle loi ne pourrait pas exercer comme thérapeute indépendant. Heureusement qu'il y a des psychologues qui ne trouvent pas ça normal

    Chantal Leroy vendredi 13 janvier 2017 09:12
  • Vous dites:
    "Je n'ai pas connu les vieilles histoires qui justifient ces conflits : elles appartiennent au passé. Point."
    1) Avec quel droit est-ce que vous fermez la discussion?
    2) Il s' agit aujourd'hui de l'actualité de la loi De Block.

    Tania Schuddinck samedi 14 janvier 2017 14:07
  • Votre secteur de travail a été déchiré par le BFP/FBP. D'ailleurs Le BFP/FBP n'est q'une des organisations. Il y a Uppsy , mais maintenant aussi Appelpsy et en Flandre Klipsy. Donc on a un grand choix maintenant Í  s'affilier avec une organisation qui vous ressemble vraiment.

    Tania Schuddinck samedi 14 janvier 2017 14:25
  • Et que pensez-vous de la lettre ouverte que l'UPPCF Í  écrit Í  Compsy? l'UPPCF contre COMPSY? Ou...?

    Tania Schuddinck samedi 14 janvier 2017 14:38
  • Que dire de votre lettre ouverte ?

    La passion de l'ignorance ou pour autrement une position de "Je n'en veux rien savoir".

    Cela mène au pire !

    Freud et Bateson se retournent en effet dans leur tombe, mais pas pour la raison que vous indiquez.

    Lisez les courriers de Copel, vous y découvrirez pourquoi cette loi modelée par Maggie De Block assassine les pratique de parole

    Bruno de Halleux jeudi 19 janvier 2017 08:17
  • Chère Emilie, nous nous connaissons et je rejoints pleinement. Je t'admire d'avoir osé émettre ton opinion qui ne pouvait que soulever cette salve de tirs d'opposants dont je me demande s'ils ont pris la peine de lire le texte de loi ou s'ils s'en réfèrent Í  des lectures d'autres toujours interprétatives. En tant que président de l'UPPCF, nous voulons rassembler les psychologues cliniciens, d'abord pour la psychologie clinique car contrairement Í  ce que certains voudraient faire croire, on n'est pas psychothérapeute après des études de psychologie clinique. On est psychologue clinicien! Bien sûr la psychothérapie intéresse les psychologues cliniciens et beaucoup s'y forment et Í  ce titre elle retient l'attention de l'UPPCF. Même si nous soutenons cette loi qui est une première pour faire exister les psychologues cliniciens, nous nous réjouissons que les mesures transitoires sur l'exercice de la psychothérapie seront revues car elles peuvent être améliorées. Notre souhait est qu'au sein de l'UPPCF, tous les points puissent être exprimés et pris en compte. Alors rejoignez au-delÍ  des divergences de points de vue : plus nous serons, mieux nous serons entendus et perçus par la pouvoir politique!

    Thierry Lottin jeudi 19 janvier 2017 08:37
  • Madame,
    Vos propos ne sont pas étonnants dans votre position quand, comme vous l'indiquez sur différents sites, vous êtes membre du CA de la Commission des psychologues, membre du CA de l'UPPCF et membre de la FBP (www.emiliegerard-psychologue.com et www.bfp-fbp.be/fr/psycholoog/29116)

    Je pense que cela se passe de tout commentaire...

    Frédéric Pouliart jeudi 19 janvier 2017 16:55
  • Cher Monsieur Lottin, un peu partout je lis vos réponses, assez électoralistes, il faut bien le dire.
    Comme vous le savez, le monde des psychologues cliniciens est divisé en deux. On peut le regretter. C'est vrai aussi que les échanges sont souvent violents. C'est malheureusement le cas quand un groupe veut empêcher l'autre d'exister. J'ai des tas d'exemples pour le démontrer.
    Il y a donc FBP/ UPPCF d'un côté et UPPsy/APPPsy de l'autre, auxquels vient de se rajouter tout récemment APPELPsy.
    Cette division n'est pas liée uniquement au fait qu'il y a beaucoup de psychothérapeutes dans un clan. En effet, il y en a beaucoup dans les 2. Ce n'est peut-être même pas lié Í  une conception différente de la santé mentale, quoi que... ?
    C'est par contre très certainement lié Í  des options politiques différentes (être prêt Í  tous les compromis pour être assimilés aux médecins et avoir un remboursement Inami qui, soit dit en passant, semble devenir de plus en plus hypothétique - exiger le minimum pour être sûr d'avoir une loi en espérant pouvoir l'élargir plus tard, sauf que loi il y avait...).
    La loi Muylle de 2014 reconnaissait les psychologues cliniciens comme une profession de soins de santé autonome, sur un pied d'égalité avec les médecins. Elle prévoyait même explicitement que tout professionnel de la santé (y compris les médecins) devait renvoyer vers un autre professionnel si le problème dépassait sa compétence. En d'autres termes, le médecin était obligé de renvoyer vers un psy les problèmes psys. Pourquoi avoir attaqué cette loi ? En quoi n'était-elle pas satisfaisante pour les psychologues cliniciens ?
    Avec Maggie De Block, nous avons une loi qui reconnait certes les psychologues cliniciens, mais qui les assimile complètement aux professions médicales. Nous allons vers le dossier médical commun informatisé. Notre secret professionnel est mis Í  mal sans que la Commission des psychologues n'intervienne. De plus, la loi prévoit explicitement que tout médecin, quelle que soit sa pratique, peut pratiquer la psychologie clinique. Avons-nous gagné au change ???
    Le clan auquel j'appartiens, qui défendait la loi 2014, rêvait d'une reconnaissance du champ des sciences humaines comme étant complémentaire et égalitaire par rapport Í  celui des sciences médicales. C'était le but d'un conseil supérieur de la santé mentale constitué uniquement de professions psys. Désormais les médecins (pas nécessairement psychiatres) en font partie. Pourquoi ?
    La loi 2014 prévoyait un conseil supérieur composé du conseil supérieur des psychologues cliniciens, de celui des orthopédagogues et de celui des psychothérapeutes.
    Avec Maggie De Block, les professions psys sont les seules, dans le domaine des soins de santé, Í  ne pas avoir un conseil supérieur spécifique Í  chaque profession. Avons-nous gagné au change ???
    Un autre point de désaccord concerne les psychothérapeutes. Vous représentez ceux qui pensent que la psychothérapie doit être réservée aux psychologues et aux médecins et qu'elle doit s'enseigner Í  l'université, options légalisées par la loi De Block.
    C'est vrai que la loi de 2014 ne prévoyait qu'une formation de 7 ans minimum pour pouvoir devenir psychothérapeute, soit au minimum un diplôme de bachelier dans le domaine psycho-médico-social plus 4 années minimum de formation dans une orientation psychothérapeutique. En quoi avons-nous affaire avec des charlatans avec ce niveau d'exigence minimal ? En quoi cela empêchait-il les universités de prendre en charge des formations, comme elles le font déjÍ  ? En quoi cela empêchait-il certaines écoles d'avoir vos exigences ? Toutes les associations professionnelles reconnues se battent pour un niveau d'exigence important au niveau des formations. Figurez-vous que nous aussi nous sommes contre le charlatanisme. Ne risque-t-on pas maintenant une baisse de qualité du travail psychothérapeutique puisque toute profession médicale ET paramédicale peut pratiquer l'acte psychothérapeutique, les psychologues ayant une formation moindre que celle prévue dans la loi 2014, et les médecins un semblant de formation, voire pas de formation puisqu'ils sont supposés être compétents pour tout. Est-ce une meilleure loi ??? Peut-être vaut-il mieux un charlatan diplômé qu'un non master formé pendant des années ?
    C'est sûr que, si on a une position purement corporatiste (il est hors de question que je partage le gâteau avec d'autres, ou il est hors de question que je doive me former plus pour faire de la psychothérapie), la loi De Block est plus intéressante.
    De toute façon, le problème ne se pose plus, la profession de psychothérapeute est purement et simplement supprimée. Seul pays au monde où cette profession disparaît. Est-ce une bonne chose pour les patients ? Certains semblent croire que oui. Pourquoi pas ? Pour ma part, je pense que la diversité est source de richesse et de progrès. Est-ce que l'humain, son bien être ou son mal être, sa vie émotionnelle, son histoire,..., peuvent se mesurer en termes statistiques ? De Block pense que oui. Moi je crois que la psychothérapie se rapproche plus de l'homéopathie que des standards médico scientifiques statistiques. Mais bon, pour certains, l'homéopathie, c'est du charlatanisme.
    Vous avez beaucoup dit (c'est d'ailleurs écrit sur votre site) que l'UPPsy est une émanation de l'APPPsy. C'est faux. Certains membres fondateurs étaient également membres de l'APPPsy, mais d'autres ne l'étaient pas du tout. C'est toujours le cas dans nos membres.
    Vous vous présentez comme la seule fédération francophone de psychologues cliniciens. C'est encore faux et dire cela, c'est nier l'existence de l'autre. L'APPPsy est aussi exclusivement composée de psychologues cliniciens. L'UPPsy est également faite de psychologues cliniciens travaillant dans les différents secteurs de la psychologie. Idem pour APPELPsy.
    J'ai moi-même souvent écrit que l'UPPCF était en fait le secteur clinique francophone de la FBP + les neuropsychologues, affirmation que vous récusez. Mais si on regarde la liste de vos membres fondateurs, ils sont tous soit membres de la FBP, soit neuropsychologues... Il en est de même, Í  1 ou 2 exceptions près, pour votre conseil d'administration. Comment se fait-il que les représentants du secteur clinique francophone de la FBP Í  la Commission des Psychologues soient tous membres de l'UPPCF ? Comment se fait-il que le représentant de la FBP Í  l'UNPLIB soit un membre de l'UPPCF ? Est-ce Í  dire que c'est l'UPPCF qui représente la FBP auprès des instances officielles ? Difficile d'affirmer que ce sont des associations différentes !
    Dans cette optique-lÍ , il est assez amusant de lire la lettre que vous avez écrite Í  la Commission des psychologues, alors que vous faites parties des personnes qui votent dans cette même commission. Donc vous écrivez une lettre de protestation contre les décisions que vous avez prises ?!? J'imagine que vous vous gardez bien de raconter cela Í  vos membres.
    Amusant aussi que, tout Í  coup, vous trouviez qu'il fallait changer les clauses transitoires. Pourquoi ne pas l'avoir dit plus tôt ? Pourquoi avoir soutenu Í  fond la loi De Block ?
    Quand une association veut imposer son point de vue aux autres, comme c'est le cas de la FBP (en réalité je devrais dire la VVKP), il n'y a pas de dialogue possible.
    Madame Gérard, vous ignorez peut-être que Madame Onkelinx avait réuni tous les partenaires autour de la table (les différents partis politiques démocratiques, toutes les associations de psychologues, les associations de psychothérapeutes, les universités, les psychiatres). Il y a eu plusieurs réunions qui ont abouti Í  ce compromis voté Í  l'unanimité Í  l'exception du Vlaams Belang et de la NVA. Les 2 clans étaient autour de la table et ont exprimé leurs desiderata. Chaque clan a lâché des revendications pour arriver Í  ce compromis (n'est-ce pas ça le sens d'un compromis ?). Pour aboutir Í  quoi ? Un des clans, frustré d'avoir dû faire des compromis, a fait du lobbying auprès de la ministre De Block pour qu'elle mette tout Í  la poubelle.
    Dans le monde des psychologues, nous subissons la loi du plus fort, soit la loi de la jungle. Freud dirait que nous sommes dans la transgression de l'interdit de l'anthropophagie. Il ne faut dès lors pas s'étonner qu'il y ait des conflits. Pour en sortir, il faut que chacun se mette Í  la même table, reconnaisse et s'excuse pour le mal fait Í  l'autre, écoute le point de vue de l'autre et accepte de trouver un compromis où chacun peut avoir sa place. C'est possible si la volonté existe...
    Brigitte Dohmen

    Gitte mercredi 25 janvier 2017 00:11
  • "Je pense qu'il faut que vous soyez conscients qu'il va vous falloir respecter les autres si vous voulez être écoutés en dehors de vos cénacles. Il va vous falloir accepter les différences et ne pas les vivre comme persécutrices." Brigitte Dhomen , 28 septembre 2013

    David Tordeurs jeudi 2 février 2017 21:44
  • Madame Dohmen, je ne prendrai pas la peine de relever toutes interprétations, les méconnaissances et les désinformations que vous faites circuler. A croire que vous voulez diviser les psychologues entre eux et renforcer un clivage qui ne sert personne. Pourquoi?
    Je continue quand même Í  espérer que nous pourrons rassembler les psychologues cliniciens pour pouvoir exprimer une même voix malgré des différences de point de vue qui peuvent coexister...

    Thierry Lottin jeudi 9 février 2017 08:19
  • A partir du moment ou "le secteur de la psychologie est a nouveau en emulation", on arrete de lire

    loutus57 samedi 4 mars 2017 12:32

Ajouter un commentaire à l'article





« Retour