Métiers du social et de la santé : les filières qui offrent le plus de débouchés aux jeunes
Un rapport commandé par Actiris classe les formations qui offrent les meilleures perspectives d’emploi pour les jeunes. Parmi celles-ci : les secteurs du (para)médical et du travail social. Que ce soit via l’enseignement supérieur ou celui universitaire, ces deux secteurs restent des valeurs sûres pour trouver un premier emploi. De quoi motiver les futurs diplômés !
En classant les formations aux meilleures perspectives d’emploi, Actiris a recensé tous les jeunes avec un emploi durable un an après leur inscription sur la plateforme. Actiris en a établi le top 5 des secteurs au meilleur taux d’emploi : le paramédical est en 3ème position (88.7%) et le travail social en 4ème (84.7%).
Plus précisément pour les jeunes avec un diplôme de l’enseignement supérieur, leur taux d’emploi moyen est de 54.5%. Le (para)médical et le travail social sont à nouveau en tête du classement. La garde d’enfant et les soins infirmiers (77,2%) et le paramédical (66.0%) sont dans le top 5 des formations aux meilleures perspectives d’emploi. Les soins aux personnes et aides familiales suivent juste après (63.8%), ainsi que les animateurs et éducateurs (60.6%) et les assistants sociaux (59.2%).
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Décrocher son premier job dans les métiers du soin
Les possibilités d’emploi en moyenne sont plus élevées pour les jeunes avec un baccalauréat (76.9%). Le (para)médical (88.7%) et le travail social et aides aux personnes (84.7%) permettent, à nouveau, d’importantes perspectives d’emploi et décrochent la deuxième et troisième place sur le podium.
Pour les jeunes avec un master les possibilités restent élevées dans les milieux du paramédical (82.3%) et de la psychologie et pédagogie (80.8%) : ils sont à la 4ème et 5ème place du top 5.
Trouver un job dans les soins de santé après la pandémie : c’est possible !
Contrairement à d’autres corps de métiers, le rapport indique que les débouchés des secteurs du (para)médical et social n’ont pas été impactés par la crise du Covid-19. Pour tous les niveaux d’études et malgré les difficultés de la crise sanitaire, les soins de santé permettent encore de belles perspectives d’emploi pour les jeunes.
En revanche, la pandémie a révélé les difficiles conditions de travail et le manque de moyens récurrents dans ces secteurs. Si leur taux d’emploi reste élevé, leur attractivité auprès des jeunes doit encore être développée.
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