Un site de l'Agence pour le Non-Marchand
Informations, conseils et services pour le secteur associatif

Ecoles de promotion sociale : le plein de formations !

30/08/16
Ecoles de promotion sociale : le plein de formations !

Les formations qualifiantes ou de perfectionnement permettent de s’insérer ou de rebondir sur le marché du travail. L’offre des écoles de promotion sociale est à la fois accessible à tous et diversifiée !

Choisir ses études et une orientation professionnelle relève parfois du casse-tête ! Loin des grandes écoles ou universités, qui n’attirent pas forcément tout le monde, les écoles de promotion sociale offrent une palette de formations pratiques. Celles-ci sont par ailleurs extrêmement diversifiées et ouvertes à tout le monde : depuis l’apprentissage des langues, de l’informatique, jusqu’à des formations plus spécifiques. Ces écoles offrent en outre des possibilités de cursus de différentes longueurs, que l’on soit ou non diplômé de l’enseignement secondaire.

Focus : marché de l’emploi

Le public-cible de ces établissements est en effet très diversifié, puisque l’on peut autant y trouver des cours permettant de réactualiser ou d’approfondir ses connaissances, que des formations qui vont donner un coup de pouce pour réorienter une carrière professionnelle ou se former en vue de décrocher un emploi. A l’issue des formations, certificats (enseignement secondaire) et autres titres (diplômes d’enseignement supérieur) délivrés par la Fédération Wallonie Bruxelles, sont octroyés.

Formations dans le social

Plusieurs formations sont par ailleurs proposées dans le secteur social, notamment dans le secteur des services aux personnes et soins de santé, gros pourvoyeur d’emplois. Des formations d’aide-soignante ou aide familiale, d’infirmières hospitalières ou de soins aux personnes, sont par exemple prodiguées au sein de ces écoles. Les cursus s’étalent sur deux ans, parfois plus, dans le cadre d’un BAC. Certaines sont organisées en journée, mais il est également possible d’en suivre d’autres en cours du soir.

Aussi pour bacheliers !

Dans un autre domaine, les écoles de promotion sociale offrent également des formations dans le secteur de l’animation, que cela soit comme auxiliaire de l’enfance, dans le secteur interculturel ou autre. Il est par exemple possible de suivre une formation d’éducateur dans l’enseignement secondaire supérieur, en deux ans. Mais aussi un BAC d’éducateur spécialisé en accompagnement psycho-éducatif, en trois ans.

Sandra Evrard

Plus d’infos :
Annuaire des écoles d’enseignement de promotion sociale



Commentaires - 7 messages
  • j'ai en 2011 et 1012 fait des études en promotion sociale aides familiale ai passé mon tfe avec succès et ai décrochés un certificat de qualification aides familiale avec mention et depuis septembre 2012 aucune offre d'emplois ne m'est jamais parvenue j'ai postulés partout pendant 18 mois et ce compris dans les centre public d'action sociale de la région liégeoise rien jamais de réponse positive ou négatives donc il n'est jamais sur et certains de décrocher d'emplois par le biais de ces formation surtout a 51 ans et sans le permis et un véhicule et même chez les plus jeunes qui n'ont pas comme moi ces facilité que sont un moyens de locomotion

    schopgès roselyne jeudi 17 septembre 2015 23:02
  • Le problème c'est peut-être la région liégeoise, car moi je termine mon bachelier en éducation spécialisée via la promotion sociale et lors d'un stage l'année passée, j'ai déjà sans le demander reçu une offre d'emploi. Mais je suis en région bruxelloise. Et pourtant j'ai 53 ans. C'est vrai qu'on a plus de choix quand on le permis, moi aussi je ne l'ai pas et beaucoup d'offres le demandent. Ne vous décourager pas Schopgès Roselyne et si vous le pouvez, voyez dans une autre région! Mon mari aussi a eu du boulot grâce à son Bach de promotion sociale.

    Ngalassa jeudi 24 septembre 2015 13:17
  • Le permis de conduire et un véhicule personnel sont des atouts voire sont indispensables à l'exercice du métier d'aide familial. Ces critères sont d'ailleurs parfois indiqués comme prérequis à l'entrée en formation. Notons que l'importance de la mobilité pour exercer ce métier est abordée lors de la séance d'information préalable à l'inscription...

    PsyPhil mardi 29 septembre 2015 11:28
  • Je suis assez outée de voir et revoir fréquemment que non seulement le permis de conduire soit exigé mais en plus le fait d'avoir un véhicule en sa possession quand on voit le prix mensuel d'une voiture.
    Si toutes ces formations sont excellentes, elles devraient comprendre le permis de conduire ET les moyens d'acquérir le sacro-saint véhicule aujourd'hui indispensable mais aussi impayable pour un(e) chômeur (se)ou un(e) bénéficiaire du revenu d'intégration sociale.

    Sabine-Thérèse jeudi 1er septembre 2016 08:37
  • Bonjour

    Je suis travailleur social Í  la commune de Saint Josse, ma question est de savoir si je peux inscrire des personnes sans séjour Í  ces formations qualifiantes?

    ASstjtn jeudi 1er septembre 2016 09:07
  • c'est possible au collectif des femmes de louvain-la-neuve

    fanjo jeudi 1er septembre 2016 21:07
  • Imposer la possession d'une voiture comme condition d'emploi devrait être jugé totalement illégal. Si c'est vraiment un outil de travail, c'est Í  l'employeur de le fournir (personne ne dit Í  un salarié : ''achetez la photocopieuse, on vous rembourse les copies''). Pour un besoin qui ne serait pas intensif (ce qui est régulièrement le cas), l'employeur pourrait avoir un abonnement Í  un système de voitures partagées (type Cambio...).

    Vous imposez la possession d'une voiture, c'est vous obliger Í  détourner une part importante de votre salaire (*) pour prendre en charge une dépense qui n'est normalement pas de votre ressort mais celui de l'employeur.
    Il s'agit d'un reliquat d'une époque ou tout le monde avait une voiture. Les conditions économiques des ménages n'étaient guerre les mêmes que maintenant, quant Í  l'environnement...

    (*) Et Í  condition que ce soit même possible : acheter, entretenir une voiture pour un(e) isolé(e) avec le salaire d'un mi-temps ou d'un temps plein peu payé ? Quid aussi de l'égalité des chances ?

    Pour ce qui est du permis de conduire, lÍ , il s'agit d'une compétence est c'est au salarié Í  l'apporter, bien sûr.

    Bomy mercredi 1er août 2018 15:19

Ajouter un commentaire à l'article





« Retour