Médecine et dentisterie sans filtre

Les étudiants en médecine et dentisterie ne seront plus stoppés à la fin de leurs candis.

Le filtre, installé en 1997 par la Communauté française, visait à ajuster le contingent d’étudiants en fonction du numerus clausus imposé par le fédéral.

Le numerus clausus, lui, reste d’actualité. Le décret reconfie aux universités le soin d’orienter elles-mêmes les étudiants vers les spécialisations, en fonction des places disponibles.

L’avant-projet de décret, approuvé en 1ère lecture par le Gouvernement de la Communauté française, devrait entrer en vigueur dès l’an prochain. Des mesures transitoires sont prévues pour les étudiants ayant obtenu une attestation.