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Opportunité de carrière : devenez technologue en imagerie médicale au CHU Saint-Pierre

Opportunité de carrière : devenez technologue en imagerie médicale au CHU Saint-Pierre

Vivien Meurillon, 29 ans, est technologue en imagerie médicale et chef adjoint du service de radiologie (d’imagerie médicale) du CHU Saint-Pierre à Bruxelles. Avec dynamisme et passion pour son métier, il nous en dévoile les contours. L’hôpital universitaire recherche activement des technologues en imagerie médicale pour renforcer son service.

Le service d’imagerie médicale du CHU Saint-Pierre réalise 100.000 examens par an, enfants et adultes compris. On y retrouve plusieurs disciplines telles que la radiologie conventionnelle, le scanner, l’IRM, l’échographie, l’angiographie(radiologie) interventionnelle. L’équipe se compose d’une vingtaine de technologues, d’agents l’accueil et de médecins radiologues. À la tête de ce service, nous retrouvons Laëtitia de Clercq, infirmière en cheffe et Vivien Meurillon, technologue adjoint au CHU depuis 7 ans.

Le Guide social : Pouvez-vous nous expliquer ce qui vous a incité à intégrer l’équipe du CHU Saint-Pierre ?

Vivien Meurillon : Mon expérience en tant que stagiaire à l’hôpital Saint-Pierre pendant quatre semaines a été particulièrement enrichissante. L’entente et la bonne collaboration avec l’équipe étaient exceptionnelles, ce qui a facilité mon intégration et m’a permis d’acquérir de précieuses connaissances. Ayant appris que l’infrastructure hospitalière était en phase de recrutement, j’ai exprimé mon désir de continuer à contribuer à son équipe. La localisation de l’hôpital a constitué également un incitant par rapport à ma situation personnelle.

Le Guide social : Pouvez-vous nous dire un mot sur votre parcours académique qui a précédé votre arrivée au CHU ?

Vivien Meurillon : J’ai suivi une formation de bachelier - Technologue en imagerie médicale à la HEPL. C’est un cursus en trois ans que j’ai réalisé de 2013 à 2016.

Il existe deux voies pour se qualifier en tant que technologue en imagerie médicale : l’une est de décrocher un bachelier dans ce domaine spécifique, et l’autre consiste à obtenir un bachelier en soins infirmiers et puis de se spécialiser en imagerie médicale. En outre, l’exercice de cette profession requiert la possession d’un Certificat de radioprotection, conformément aux exigences légales de l’AFCN, ainsi que l’obtention de l’Agrément de technologue en imagerie médicale.

Le Guide social : Qu’est-ce qui vous avait motivé à vous lancer dans ces études ?

Vivien Meurillon : Cela a débuté de manière assez fortuite. Lors des salons l’orientation organisés en dernière année de secondaire, destinés à nous familiariser avec diverses professions, j’ai découvert par hasard la fonction de technologue en imagerie médicale. Étant attiré par le secteur médical et paramédical, j’ai immédiatement voulu en savoir davantage. Souvent, lorsqu’on envisage une carrière dans ce domaine, on pense instinctivement aux professions telles que kinésithérapeute ou infirmier. L’aspect technique et la manipulation des équipements médicaux m’ont particulièrement séduit.

"Le volet interventionnel est un atout du CHU Saint-Pierre"

Le Guide social : Pouvez-vous décrire en quoi consiste le métier de technologue en imagerie médicale ?

Vivien Meurillon : Le technologue est le professionnel en charge de l’acquisition des images. Sa tâche varie selon la technique d’imagerie employée. Ces techniques, ou modalités, incluent entre autres la radiologie conventionnelle, le scanner, la résonnance magnétique (IRM), la médecine nucléaire (les isotopes).

La responsabilité première du technologue est d’accueillir le patient, de comprendre la nature de l’examen requis, et de réaliser les images les plus précises et informatives possibles. Après l’examen, le technologue s’assure également de raccompagner le patient en toute sécurité. Le technologue joue également un rôle important dans l’accompagnement du patient lors de ces examens : aide à la gestion du stress, réponses aux questions, suivi de ses paramètres, être alerte face à certaines produits de contraste injectés. En outre, il est important de souligner l’aspect interventionnel de notre profession, qui représente un domaine significatif au sein de l’imagerie médicale.

Le Guide social : Pouvez-vous nous en dire plus sur l’aspect interventionnel de votre profession ?

Vivien Meurillon : Le volet interventionnel de notre travail, tel que défini par la législation, inclut notre participation à des procédures thérapeutiques sous la supervision des médecins radiologues. Par exemple, nous pouvons assister dans des interventions telles que l’installation de stents dans une veine cave rétrécie. Ces procédures sont comparables, dans une certaine mesure, à des actes infirmiers. Il est important de noter que cette dimension interventionnelle n’est pas systématiquement présente dans tous les établissements, ce qui représente une spécificité et un atout majeur du CHU où je travaille.

Le Guide social : Comment se déroule une journée de travail ordinaire pour vous ?

Vivien Meurillon : Au CHU Saint-Pierre, nous bénéficions de la possibilité de varier entre différentes modalités d’imagerie. Une journée habituelle commence par la consultation de notre emploi du temps, soigneusement organisé à l’avance par les secrétaires. Les examens se déroulent ensuite en étroite collaboration avec un médecin radiologue tout au long de la journée.

Horaires : "nous nous efforçons de prendre en compte les spécificités et les besoins individuels de chacun"

Le Guide social : Qu’en est-il des horaires ?

Vivien Meurillon : Nos horaires de travail dépendent largement de la demande et du type d’imagerie pratiquée. Pour des services comme la radiologie conventionnelle et les scanners, où la demande est plus modérée, nous recevons les patients de 7h30 à 17h00, ce qui correspond à des heures de travail standard. Cependant, en raison d’une demande accrue pour les examens par résonance magnétique (IRM), notre hôpital, à l’instar d’autres établissements en Belgique, a dû significativement étendre ses plages horaires.

Au CHU Saint-Pierre, les rendez-vous pour l’IRM sont possibles de 6h30 à 22h30. Cela concerne principalement les consultations planifiées. En dehors de ces heures, le service d’imagerie fonctionne en continu, notamment pour répondre aux besoins des urgences et des patients hospitalisés, ce qui implique que nous assurions des gardes. Lors de l’établissement de l’horaire, nous nous efforçons de prendre en compte les spécificités et les besoins individuels de chacun dans la mesure du possible, afin de favoriser un environnement de travail propice au bien-être de tous.

Le Guide social : Quelles sont les compétences essentielles qu’un technologue doit posséder ?

Vivien Meurillon : Étant donné que notre travail nous met quotidiennement en contact avec des patients souvent confrontés à des situations de vie difficiles et à des problèmes de santé, la capacité à faire preuve d’empathie est absolument cruciale. Un bon technologue doit également faire preuve de dynamisme, étant donné que les demandes peuvent provenir de multiples services. La faculté de rester performant et efficace lors de journées potentiellement chargées et variées est essentielle, car aucune journée n’est identique à une autre.

"L’imagerie médicale est un élément fondamental dans l’établissement du diagnostic"

Le Guide social : Ces sollicitations de toutes parts témoignent de la position centrale du technologue au sein des différents services de l’hôpital…

Vivien Meurillon : Absolument, l’imagerie médicale est un élément fondamental dans l’établissement du diagnostic, qu’il s’agisse de simples fractures traitées aux urgences à des évaluations complètes en oncologie. L’imagerie est également incontournable pour les suivis et les examens de routine. Cette omniprésence dans le processus de soins explique pourquoi les technologues en imagerie médicale sont si fréquemment sollicités au sein de l’hôpital.

Le Guide social : Diriez-vous alors que le service d’imagerie est au cœur de l’activité hospitalière, à tel point que certains services, comme les urgences, ne pourraient pas opérer sans lui ?

Vivien Meurillon : Tout à fait. Lorsqu’un appareil crucial comme le scanner est hors service, nous sommes contraints de suspendre les interventions du SMUR, et les ambulances doivent être redirigées vers d’autres établissements. L’imagerie médicale est véritablement un pivot autour duquel s’articulent de nombreux services de l’hôpital.

Chaque patient, à un moment ou à un autre, requiert nos services. La médecine moderne dépend intrinsèquement de nos différentes techniques d’imagerie pour diagnostiquer, suivre et traiter les patients.

Le Guide social : Quels défis majeurs rencontrez-vous dans votre quotidien professionnel ?

Vivien Meurillon : L’un des principaux défis réside dans la gestion des situations d’urgence, particulièrement en ce qui concerne le scanner, où les circonstances peuvent devenir extrêmement exigeantes. Dans une situation d’urgence, le temps est un facteur critique. Le technologue doit effectuer les scans rapidement pour fournir des informations essentielles au diagnostic et au traitement des patients dans des délais très courts. Face à des cas urgents, il doit prendre des décisions importantes concernant la priorisation des patients, le choix des protocoles de scanning appropriés et l’adaptation aux besoins spécifiques de chaque cas d’urgence.

En ce qui concerne l’IRM, le volume élevé de demandes constitue notre plus grand obstacle. Les examens par IRM demandent plus de temps, rendant l’intégration des cas urgents dans un planning déjà bien rempli particulièrement ardue. Chaque technique d’imagerie vient avec ses propres enjeux et complexités.

Cette réalité se traduit souvent par des délais d’attente prolongés pour les IRM, un phénomène courant dans la plupart des établissements hospitaliers. La demande pour ces examens est considérable, à tel point que je ne connais aucun hôpital qui gère aisément son planning d’IRM.

Le Guide social : Rencontrez-vous d’autres défis dans l’exercice de votre profession ?

Vivien Meurillon : Nous faisons face à un défi très important et similaire à celui rencontré dans d’autres secteurs tels que les soins infirmiers : une pénurie notable de technologues qualifiés en imagerie médicale. La gestion quotidienne de cette pénurie représente une difficulté constante. Pour combler ce vide au CHU Saint-Pierre, nous collaborons avec une entreprise externe de technologues indépendants. Cela nécessite de notre part une grande adaptabilité afin d’assurer une continuité des soins de haute qualité et de maintenir l’esprit d’équipe, malgré le taux de rotation élevé de ces professionnels externes.

"La complexité et la gravité des cas que nous traitons dépassent largement les situations médicales courantes"

Le Guide social : Idéalement, combien faudrait-il de technologues statutaires au sein de votre service ?

Vivien Meurillon : Pour assurer un fonctionnement normal et efficace de notre service sans recours à des technologues indépendants, il nous faudrait disposer d’environ trente technologues statutaires. À l’heure actuelle, notre équipe interne n’en compte que seize.

Le Guide social : L’invitation à rejoindre votre service au CHU Saint-Pierre est claire et motivante. Quel message souhaitez-vous transmettre aux technologues potentiels pour les encourager à faire partie de votre équipe ?

Vivien Meurillon : Notre établissement offre une multitude d’opportunités. Premièrement, la complexité et la gravité des cas que nous traitons dépassent largement les situations médicales courantes, ce qui offre l’occasion de travailler sur des pathologies rares. Le CHU Saint-Pierre se distingue notamment par son expertise dans le domaine de la tuberculose et plus largement dans les maladies infectieuses, avec une imagerie médicale spécialisée à l’appui.

Un autre avantage significatif réside dans notre politique de rotation des technologues à travers au moins trois modalités d’imagerie différentes, ce qui favorise l’acquisition d’une riche expérience professionnelle et de nombreuses compétences.

Sous la direction attentive de notre cheffe de service, nous cultivons un fort esprit d’équipe et veillons scrupuleusement à l’équilibre entre les impératifs professionnels et la vie personnelle de nos collaborateurs. Nous nous efforçons de répondre au mieux aux attentes de chacun, en adaptant les horaires lorsque cela est possible, pour garantir le bien-être de notre équipe au sein de l’hôpital. Le respect de cet équilibre entre vie professionnelle et vie privée est une priorité absolue pour nous.

"Il ne faut pas se passionner pour l’informatique pour savoir utiliser les machines"

Le Guide social : Pouvez-vous nous parler de l’aspect technique de votre travail, en particulier de l’utilisation et de l’évolution des équipements de pointe dans le domaine de l’imagerie médicale ?

Vivien Meurillon : Le secteur de l’imagerie médicale est caractérisé par une innovation constante et rapide. Mes collègues, notamment ceux qui ont une plus longue expérience, témoignent de transformations remarquables au fil des ans. L’intégration de l’intelligence artificielle (IA) pousse ces avancées encore plus loin. Par exemple, nous avons récemment mis à niveau notre équipement IRM, ce qui nous permet d’obtenir des images d’une qualité exceptionnelle tout en réduisant significativement le temps nécessaire à l’acquisition d’images.

Selon les cas, cela peut représenter une réduction de temps allant d’un tiers à la moitié pour un examen standard, ce qui contribue à diminuer les délais d’attente pour les patients, en particulier pour les IRM.

Une autre innovation dans notre service est le test des systèmes de détection automatique de fractures par IA, qui analysent les radiographies pour identifier les fractures. Cela représente un gain de temps précieux et agit comme un filtre initial face au volume important d’examens radiographiques que nous effectuons chaque jour.

Pour ce qui est du support technique, nous sommes bien assistés. Les entreprises fournissant les équipements assurent également une formation et un accompagnement lors de l’installation de nouveaux appareils ou fonctionnalités. L’apprentissage est intense dans notre métier mais, contrairement à certaines idées reçues, il ne faut pas se passionner pour l’informatique pour savoir utiliser les machines.

"L’ambiance de travail est particulièrement positive, notamment grâce à une équipe dynamique et majoritairement jeune avec laquelle les échanges sont fluides"

Le Guide social : Pourriez-vous mettre en avant les éléments les plus gratifiants de votre profession ?

Vivien Meurillon : Ce que j’apprécie particulièrement dans mon métier, c’est l’aspect collaboratif et pluridisciplinaire. Nous travaillons en étroite collaboration avec les médecins, ainsi qu’avec les différentes unités d’hospitalisation, ce qui nous intègre pleinement au sein de l’institution médicale.

L’une des grandes satisfactions de notre travail est la capacité à produire des images de haute qualité, surtout dans des situations complexes ou difficiles. La compétence technique et la précision requises pour obtenir de tels résultats sont source de fierté professionnelle pour un technologue en imagerie médicale.

Le Guide social : Pouvez-vous nous parler de la dynamique de travail avec les autres professionnels de santé au sein de l’hôpital ?

Vivien Meurillon  : Au sein du CHU, l’ambiance de travail est particulièrement positive, notamment grâce à une équipe dynamique et majoritairement jeune avec laquelle les échanges sont fluides. Les interactions entre nous, technologues, et les radiologues sont excellentes, ce qui contribue à rendre notre environnement de travail agréable. La collaboration avec le personnel administratif, notamment les secrétaires, est également très positive.

Par ailleurs, nous entretenons des relations professionnelles avec les radiophysiciens, indispensables dans le cadre des examens impliquant une exposition aux radiations, tels que la radiologie, ce qui enrichit notre pratique professionnelle.

Le Guide social : Quelle est la nature de vos échanges avec les patients ?

Vivien Meurillon : La première préoccupation des patients est souvent de comprendre ce que révèlent les images obtenues lors de l’examen. En tant que technologues, nous sommes tenus par la loi de ne pas interpréter ou divulguer ces informations. Notre rôle est plutôt de fournir un soutien et de rassurer le patient en lui assurant que les résultats seront communiqués en temps voulu par le personnel médical compétent.

Il est en effet plus aisé de se retrancher derrière la réglementation qui nous interdit de commenter les images que de se trouver dans la position délicate d’avoir à annoncer de mauvaises nouvelles. Cette distance professionnelle nous aide à gérer ces situations délicates avec les patients.

Le Guide social : Comment gérez-vous les patients, notamment les enfants, qui peuvent être fortement impressionnés par des examens comme l’IRM ?

Vivien Meurillon : Nos équipements sont dotés de protocoles spécialement conçus pour les patients pédiatriques, afin d’adapter les examens à leurs besoins. Lorsqu’il s’agit de gérer l’inconfort ou l’agitation des enfants, la présence et le soutien d’un parent s’avèrent souvent être les meilleurs alliés. Impliquer un parent peut grandement aider à apaiser et rassurer l’enfant, facilitant ainsi la réalisation de l’examen. Pour les enfants qui sont trop petits ou sui nécessitent une prise en charge particulière, nous réalisons également les IRM sous anesthésie qui facilite l’examen et crée moins de stress pour les parents.

"Nous accueillons chaque année des stagiaires"

Le Guide social : Comment abordez-vous les situations avec des adultes qui ressentent une forte anxiété ?

Vivien Meurillon : Nous faisons de notre mieux pour apaiser les craintes des patients adultes, surtout lorsqu’il s’agit d’IRM. Malgré nos efforts pour rassurer les patients et les accompagner tout au long de la procédure, il arrive que l’examen ne puisse pas être mené à bien en raison de leur anxiété. Dans de tels cas, la seule option viable est de conseiller au patient de consulter à nouveau son médecin traitant afin d’explorer d’autres alternatives d’imagerie ou de diagnostic.

Le Guide social : Dans les Hautes Écoles on peut également observer qu’il peut être difficile d’inciter des jeunes à se lancer dans des études pour devenir technologue, quel message auriez-vous envie de donner aux jeunes pour leur donner le goût de ce métier ?

Vivien Meurillon  : Je les encouragerais à venir passer une journée avec nous pour découvrir la réalité de notre métier. Ils constateraient par eux-mêmes que, malgré certaines journées exigeantes, il y a aussi des moments très enrichissants et des expériences valorisantes. Nous offrons des stages et collaborons avec deux établissements d’enseignement supérieur. Nous accueillons chaque année six stagiaires. Cette immersion pratique est l’un de nos principaux moyens de recruter de futurs professionnels et de leur montrer les multiples facettes de notre travail.

Le Guide social : En tant que technologue adjoint chef de service adjoint, quelles sont les responsabilités supplémentaires qui vous sont attribuées ?

Vivien Meurillon : Dans mon rôle, je suis chargé de l’organisation et de l’élaboration des plannings pour notre personnel, qu’il soit interne ou externe. La coordination avec les technologues indépendants représente un défi particulier. En outre, je suis impliqué dans la gestion et le déploiement de projets institutionnels, comme l’amélioration technique de notre équipement d’IRM. La diversité des tâches rend ce poste à la fois exigeant et stimulant.

Fiche d’identité du CHU Saint-Pierre

Le CHU Saint-Pierre fait partie des hôpitaux publics et universitaires bruxellois. L’infrastructure hospitalière dispose de deux sites : le site Porte de Hal et le site Alexiens/César de Paepe.

Au total, 2.800 collaborateurs travaillent au quotidien au CHU Saint-Pierre. Le respect, l’innovation, l’engagement, la qualité et la solidarité sont présents dans chacune de leurs activités. Toutes et tous s’attèlent à placer le patient au centre de leur action, au sein des 40 services médicaux.

"Ce qui nous caractérise, c’est notre faculté d’adaptation aux réalités sociales, notre tolérance, notre libre-examen, et notre capacité à nous mobiliser au quotidien pour les patients bruxellois, quel que soit leur origine, leur milieu social ou leur orientation sexuelle.", explique l’hôpital sur son site internet.

Le CHU Saint-Pierre est un hôpital public de proximité, offrant des soins de grande qualité accessibles à tous. Il se distingue par son caractère universitaire via une implication active dans l’enseignement et la recherche. Sa quête de l’excellence en médecine de pointe et son approche multidisciplinaire, notamment au sein de nos onze cliniques à thème font de cet hôpital une référence tant sur le plan national qu’international.

Le CHU Saint-Pierre en chiffres :

  • 3 hôpitaux de jour
  • 19 Cliniques multidisciplinaires
  • 40 Services médicaux
  • 582 Lits agréés
  • 439 367 Consultations

Lina Fiandaca



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