Les heureux hasards de la science

Les découvertes fortuites de la science ne résultent pas toujours de chercheurs heureux, comme elles font par contre la fortune des promoteurs pharmacologiques. Tout le monde connaît depuis 1998 les effets de stimulation “démographique” du Viagra, au départ d’une modeste molécule destinée à l’origine à soigner… l’angine !
Il en est de même depuis 1966 de la molécule dénommée Baclofène, un myorelaxant, commercialisé à l’origine afin de soigner les spasmes musculaires dans toute une variété de cas tels que la sclérose en plaque, accidents vasculaires, infirmité motrice cérébrale et même torticolis ! Le hasard de ces multiples applications a permis à un médecin New-Yorkais de constater à retardement et non sans controverse, que la molécule du Baclofène aussi nommé Liorésal aurait un effet bénéfique pour traiter… l’alcoolodépendance.
Que n’en va-t-il de même pour la maladie d’Alzheimer occasionnant une importante dépendance et dont l’origine reste toujours inconnue et indécelable. Une maladie dont le développement et les ravages seraient dus, selon les chercheurs, à un soupçon d’hérédité qui pourrait dans 50 ans atteindre 10% de la population Touchant un nombre de plus en plus important de personnes très âgées, mais qui apparaît aussi chez des individus de plus en plus jeunes, voire de moins de trente ans.
(photo : Nal from Miami)
Source : APIA asbl
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