Rapport 2001 de l'Aide à la Jeunesse

La direction générale de l’Aide à la Jeunesse a présenté lundi son rapport d’activité 2001. Il se veut un outil de lutte contre les préjugés liés à l’aide aux jeunes en danger, en difficulté, et délinquants .

On peut ainsi constater que pour la période 1997-2000, les jeunes ne rentrent pas de plus en plus tôt dans le circuit de l’aide à la jeunesse. L’âge moyen de la première prise en charge est de 10 ans et demi pour les filles, et 11 ans pour les garçons.

L’aide contrainte concerne 4400 jeunes, tandis que l’aide volontaire en touche 14.602.

Les placements en maison familiale, centre d’observation, centre de premier accueil, centre d’accueil d’urgence... représentent plus de la moitié des mesures prises, mais ont cependant diminué de 10% depuis 1997. Les placements en IPPJ, quant à eux, ne représentent que 4% de l’ensemble des décisions.

Quelques jours avant le Conseil restreint des ministres consacré au volet répressif de la loi de protection de la jeunesse, ce rapport sort à point nommé...

Savoir plus :
sur le site de la Direction générale de l’Aide à la Jeunesse