Est-ce que le fait de participer à la vie associative, en s’intégrant aux réseaux sociaux structurés, a un impact sur la santé physique et mentale ? Est-ce que cet impact est d’autant plus bénéfique que cette participation est active ? Voilà les deux questions de recherches de l’étude dirigée notamment par la Mutualité chrétienne et l’UCL au sujet du volontariat.
On remarque ainsi que le degré de participation à la vie associative "a une influence significative sur l’ensembles des processus psychosociaux" :
les volontaires se sentent davantage en fusion avec la société
ils se sentent moins seuls
ils sont plus épanouis
ils se sentent en meilleure santé
Moins d’hospitalisations
Cette dernière donnée est appuyée par le nombre de contact annuel moyen avec un médecin généraliste : les volontaires interrogés ont en moyenne 2,6 contacts par an avec leur médecin généraliste, contre 2,9 pour ceux qui ne participent pas à la vie associative, soit 10% de contacts en plus. Les volontaires ont en moyenne 4,1 contacts par an avec un médecin spécialiste, contre 4,8 pour ceux qui ne participent pas à la vie associative, soit 17% de contacts en plus.
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